16 août 2024

Éditorial


Serpentard est un culte de l'excellence, où chacun affine ses talents avec une précision venimeuse, où chaque détail est méticuleusement façonné comme une pierre précieuse polie. Nos élèves sont des gemmes brutes, taillées dans le creuset exigeant de la maison, lustrant leurs écailles jusqu'à briller de leur plus bel éclat. Le perfectionniste, tel un alchimiste de l'ombre, transforme les imperfections en splendeurs et révèle la quintessence de la beauté cachée sous la surface. C'est dans cette quête insaisissable de perfection que réside notre essence, car rien ne brille jamais en se complaisant dans la médiocrité.

Annonce importante


Ceci est notre dernière édition publique.

Le journal a toujours eu tendance à être mal compris et trop pris à la lettre. Si à une époque il est arrivé que des chroniqueurs allaient trop loin, quand des personnes en particulier étaient ciblées et que ça touchait à l'IRL, depuis on fait de notre mieux pour trouver un équilibre et n'offenser personne. Nous avons essayé de garder cet esprit caustique qui tient tant à coeur aux Serpentard, tout en veillant à rester constructifs, dans un cadre strictement IG, et ne critiquer que des entités désincarnées, comme les maisons, les journaux ou les animations, en évitant de mentionner des pseudos en dehors des membres de la maison. Mais nos efforts ne suffisent pas puisqu'on continue de nous rapporter des plaintes.

Nous avons proposé un terrain d'entente aux équipes des autres maisons et journaux, basé sur une fausse rivalité RPGique tolérée et cultivée mutuellement tout en respectant les limites de chacun, mais la plupart ont décliné, paradoxalement avec le fait qu'ils se permettent eux-mêmes de viser Serpentard ou la VIPère. Leurs réactions nous ont fait comprendre que notre ligne éditoriale n'est pas compatible avec la mentalité du reste de la communauté. Il nous est impossible de contenter tout le monde, peu importe à quel point on fait attention il y aura toujours des gens pour confondre le jeu et la réalité et le prendre personnellement.

L'hypersensibilité de certains ne devrait pas nous imposer l'auto-censure. P12 est un refuge et un moyen d'évasion pour les Serpentard au même titre que les autres, nous prenons du plaisir à lire, jouer un rôle et écrire pour la VIPère, qui a un effet cathartique. Nous brider encore davantage ne servira qu'à générer plus de frustration et de ressentiment, mais nous ne voulons pas non plus continuer en sachant que nos propos blessent involontairement d'autres personnes, et nous n'avons plus envie d'écrire et illustrer pour les autres maisons.

Avec l'accord de la Direction, nous avons donc fait le choix de passer le journal en privé, exclusivement pour les membres de Serpentard. C'est dommage d'en arriver là, mais nous sommes convaincus que c'est la meilleure solution pour mettre fin aux dramas. Nous sommes fatigués de faire des compromis et nous voulons juste profiter tranquillement du jeu de notre côté.

Merci à ceux qui nous ont soutenu.

Les Brèves des Cachots

Version texte :

Nous avons vu défiler dans nos cachots de nombreux nouveaux élèves, dont Eleonora Norine, Selhyaaa, Jade Taylore, Elsa Taylor et Ruby Stevens.

Jack Adams a pris Aidan Ryans sous son aile dans le parrainage. D'autres petites vipères sont toujours en attente de parrains, n'hésitez pas à vous porter volontaires.

Zeferino Leozremporte l'Écaille d'Argent de juin, avec une mention honorable pour Celty Roze, Altehir Nagini et Desdemona Rosier.

Altehir Nagini et Sixtine St.James ont gagné les deux premières places du podium pour le Relooking de Celty Roze dans les couloirs.

Keith Kovalyov est le nouveau Elfe des Trois-Balais et Jack notre nouveau capitaine. Une bonne raison pour venir squatter la Cave et le terrain de Quidditch plus souvent.

Everest Howell a obtenu la moyenne aux examens tandis qu'Amand de Lorian et Athéa Liveland ont fait leur entrée dans le Club de Slug.

Alis Osborne, Celty Roze, Isaac Hardway, Sixtine St.James et Aidan Cadwallader ont été mis à l'honneur pour le rush de juin.

Celty Roze est la meilleure créatrice de quiz au cours de cette année avec un total de 212 quiz et obtient également la première place des plus belles couvertures réalisées.

Sixtine St.James quant à elle est en tête du podium du plus grand nombre de couvertures réalisées pour la Bibliothèque avec 53 créations.

L'article Père Salazar, raconte-nous une histoire rédigé par Altehir et illustré par Celty dans la précédente édition a été salué dans les Crocs du Blaireau.

Les dortoirs sont fermés pour cause de travaux ! Whisky vous a lancé un défi pour récupérer vos valises avant la rentrée : Saurez-vous trouver le code permettant de les déverrouiller ?

Un journal par les Serpentard, pour les Serpentard


Avant de commencer la rédaction de cet article, je souhaite faire un petit disclaimer : cet article ne vise ni une personne ni un groupe de personnes en particulier.

Maintenant que ceci est fait, nous pouvons entrer dans le vif du sujet qui nous intéresse vraiment.

La VIPère est le journal des Serpentard, fait par les Serpentard, pour les Serpentard. Je trouve donc très difficile de devoir mettre des disclaimers, alors que ce journal n’est censé s’adresser qu’aux Serpentard qui ont appris à comprendre depuis le temps qu’ils nous lisent, que ces écrits sont de l’humour ou du sarcasme et que ce n’est qu’une extension du rôle que nous jouons.

Vous devez bien comprendre que nous, chroniqueurs de la VIPère, ne sommes pas réellement des méchants dont le seul but est de blesser un maximum de personnes possible. La Sixtine que je suis en RPG et dans mes écrits n'existe pas réellement, ce n’est qu’un personnage créé par ma plume et mon imagination.

Notre ligne éditoriale s'inspire des journaux satiriques, où l'humour, le sarcasme et la critique mordante sont des outils pour aborder divers sujets. Nos articles sont écrits dans un cadre RPGique, où chaque chroniqueur incarne un personnage qui n'est pas forcément le reflet de sa véritable personnalité.

Notre intention n'a jamais été de viser ou de critiquer les membres des autres maisons de manière personnelle. La VIPère est conçue pour être un miroir dans lequel les Serpentard peuvent se reconnaître et se divertir. Si des lecteurs d'autres maisons se sentent offensés par nos articles, nous leur rappelons qu'ils ne sont pas notre public cible. Nous n'obligeons personne à nous lire, et il est important de comprendre le contexte et l'esprit dans lesquels nos articles sont rédigés.

Malheureusement, nous nous retrouvons dans la situation désagréable de nous (auto)censurer car un public qui n’est pas censé être le nôtre, se plaint de sa lecture, alors qu’aucun retour personnel ne nous a été fait au préalable. Pourtant, nous sommes ouverts à la discussion et si quelque chose vous déplaît, vous pouvez vous adressez à nous par le biais des commentaires ou par hibou.

Il est aussi essentiel de faire une distinction entre la critique constructive, la censure et la positivité forcée. L’une nous permet d’avancer ensemble et vise à nous améliorer, l’autre juste à nous brider. La positivité forcée, elle, bien que bien intentionnée, peut parfois occulter la valeur de la critique constructive qui vise à aider et à progresser. Il n'est pas sain de toujours être positif dans n'importe quelle circonstance. Si l'intention est louable, cela peut parfois conduire à un sentiment d'inconfort. Tout le monde a le droit d'aimer ou non un article, une bannière, un avatar, un RP et de l'exprimer, cela ne fait pas de nous, de vous, des êtres méprisables si cela est fait avec bienveillance et honnêteté.

Nous croyons fermement que la liberté d'expression, même dans un contexte satirique et RPGique, est cruciale pour maintenir un espace où les idées peuvent être échangées librement et où l'humour peut prospérer. Nous avons constaté que notre journal a parfois été dénigré dans d'autres publications. Plutôt que de s’en offenser, nous avons choisi d'en rire et d'en jouer, car nous comprenons qu'il s'agit avant tout d'un jeu. La satire et l'humour peuvent parfois piquer, mais ils ne sont jamais conçus pour blesser sérieusement.

La VIPère est, et restera, un journal fait par les Serpentard, pour les Serpentard. Nous espérons que nos lecteurs comprendront mieux notre démarche et l'esprit dans lequel nous écrivons. Nous continuerons à offrir un espace où l'humour et la satire peuvent s'exprimer librement, tout en restant conscients de la responsabilité qui accompagne la liberté d'expression. N'oubliez jamais que derrière chaque plume se cache un joueur, et derrière chaque article, une intention ludique et non malveillante.

Serpentard : La secte Vert & Argent


Bienvenue dans notre monde merveilleux de Serpentard. Vous avez entendu des rumeurs, des histoires effrayantes et des murmures dans les couloirs ? Parfait, asseyez-vous et laissez-nous vous expliquer, avec une bonne dose de sarcasme et d'humour, pourquoi Serpentard est effectivement une secte. Si besoin, vous pouvez consulter les définitions de sarcasme et d’humour dans un grimoire appelé : Dictionnaire.


I. La Sélection Ultra-Exclusive

Vous pensez pouvoir entrer à Serpentard comme on entre chez Honeydukes ? Oh, que non ! Il faut un certain je-ne-sais-quoi : ambition, ruse, détermination. On ne devient pas membre de la secte Serpentard par hasard, on est trié sur le volet. Et avouons-le, l'élite, c'est nous.


II. La Confrérie Secrète

Ah, cette fameuse solidarité Serpentard. Bien sûr, on se tire dans les pattes entre nous de temps en temps (coucou Aidan), mais face aux autres maisons, c'est l'union sacrée. Nos réunions secrètes ? Totalement réservées aux membres. Les autres n'ont pas besoin de savoir ce qu'il se passe dans notre Salle Commune. S'il faut faire passer des messages en fourchelangue, on le fait. Parce qu'on peut, tout simplement.


III. La Magie de l'Ambition

Vous voulez réussir dans la vie ? Rejoignez Serpentard. Notre prétendue obsession pour la grandeur et le pouvoir ? Appelons ça de l'ambition exacerbée. On ne vise pas seulement les étoiles, on vise les galaxies entières. Oui, on est peut-être légèrement obsédés par la réussite, mais qui n'aime pas gagner ?


IV. Les Rituels Sacrés

Nos rituels initiatiques ? Ils ne sont pas pour les âmes sensibles. Bien sûr, il y a des petites épreuves ambitieuses et rusées, mais c'est tout à fait normal pour filtrer les vrais Serpentard des simples touristes.


V. La Célébration des Individualités

À Serpentard, on ne vous demande pas de vous conformer à une norme insipide. Non, ici, chaque membre est encouragé à développer ses talents uniques. Que vous soyez un maître des potions, un prodige en sortilèges ou un stratège hors pair, votre individualité est célébrée. Parce qu'être unique, c'est notre marque de fabrique.


VI. Le Charme Mystérieux

Les autres maisons disent que nous sommes mystérieux et intimidants ? C'est parce qu'ils n'ont pas percé notre secret : on cultive notre mystère avec soin. Un peu de mystère n'a jamais fait de mal à personne, et c'est toujours bon de laisser les autres se demander ce qu'on mijote.


VIII. Le Prestige Inégalé

Être à Serpentard, c'est appartenir à une longue lignée de sorciers et sorcières qui ont marqué l'histoire. Salazar Serpentard, Bellatrix Lestrange, Severus Rogue... La liste est longue et impressionnante. Nos membres sont connus pour leur intelligence, leur détermination et avouons-le, une certaine classe inégalée.


Conclusion

Oui, Serpentard est une "secte" – mais une secte où l'on valorise l'ambition, la ruse et l'individualité. Une secte où l'on soutient les nôtres et où l'on vise toujours plus haut. Une secte où le prestige et le mystère sont à l'honneur. Alors que les autres continuent de parler. Nous, on continue de viser les sommets, un sourire sarcastique aux lèvres.

Lettre à Poudlard12


Cher Poudlard12,

Aujourd’hui, c’est à mon tour de t’écrire une lettre. Les événements récents m'ont poussée à prendre du recul et à réfléchir à notre relation. Honnêtement, je me rends compte que je me plais de moins en moins avec toi ces derniers temps, et cela commence sérieusement à me peser. Quand je t’ai rejoint en 2017, cela fait maintenant sept ans, tu as été une source d’enrichissement immense pour moi. Grâce à toi, j'ai rencontré des personnes formidables, découvert le graphisme et développé ma plume. Pendant des années, je n’ai juré que par toi. Suite à ma démission de Veilleuse des Ateliers/Boutique, j'ai pris une grande pause, et étrangement, cela m'a fait beaucoup de bien. Je suis revenue ensuite, mais après d’autres drames, j'ai de nouveau fait une pause, et encore une fois, je me suis sentie bien. Ce que je veux dire, c'est que tant que je ne goûte pas à autre chose, je me sens bien avec toi. Mais malheureusement, ce n’est que la surface de l’iceberg. Je viens sur ce site pour diverses raisons, principalement pour échapper au monde d’aujourd’hui avec ses violences, la démocratie qui se désagrège, etc. Cependant, je réalise que Poudlard12 essaie de devenir un monde de bisounours, avec ses complaisances de façade et ses critiques dans le dos dès que possible. Franchement, cela me dégoûte. On nous reproche à la VIPère d’être trop méchants, sans cœur, de ne pas faire de retours positifs. Mais, à enjoliver la vie partout, à lisser tout ce qu'on dit et à ne jamais dire les choses en face, on entretient une illusion de bonheur universel, une utopie qui, selon moi, mène inexorablement à une dystopie.

Depuis mes débuts, j’ai eu de nombreux élèves en graphisme. J'ai toujours été honnête avec eux. Être honnête n’a rien de méchant ; mon but n’est pas de chercher à tout prix leur bonheur immédiat, mais de les aider à s’améliorer pour qu’ils puissent être fiers de leur progression. Le terme de critique a pris, de nos jours, une connotation très négative. Critiquer quelqu’un est souvent perçu comme lui faire des retours méchants sur sa personnalité ou ses actions. Pour moi, critiquer signifie plutôt, comme le dit si bien le CNRTL, « exercer son intelligence à démêler le vrai du faux, le bon du mauvais, le juste de l'injuste en vue d'estimer la valeur de l'être ou de la chose qu'on soumet à cet examen. » Je pense qu'une critique constructive est essentielle pour progresser. Elle ne cherche pas à blesser, mais à éclairer et à guider vers l'amélioration. Malheureusement, ce principe semble se perdre pour un désir de complaisance et de positivité forcée. Poudlard12, je t'ai adoré et tu m'as beaucoup apporté. Mais aujourd'hui, je ressens le besoin de réévaluer notre relation. J’espère que nous pourrons retrouver un équilibre, un espace où la vérité et l'honnêteté coexistent avec le respect et l'encouragement. Car c'est seulement ainsi que nous pourrons tous grandir et nous épanouir véritablement.

Perfectible imperfection


Le graphisme est une délicate alchimie où il faut savoir trouver le bon équilibre pour ne pas rompre l'harmonie. Le perfectionnisme de Serpentard nous permet de peaufiner et voir les détails qui échappent à d'autres et qui font toute la différence entre une bonne et une mauvaise création. Qu'il s'agisse d'erreurs de débutants ou de fautes de goût, certains défauts sont particulièrement récurrents. Par bonheur, rien d'impossible à surmonter avec du recul et de la persévérance. Dans ma grande magnanimité, j'ai donc décidé de partager ces quelques conseils pour les graphistes qui souhaitent se perfectionner.


Créer une ambiance

Le graphisme ne se limite pas à trouver une image dans le thème et ajouter quelques décorations plus ou moins hasardeuses pour faire joli. Vos créations racontent une histoire. La composition, les couleurs, les textures, la typographie, tout est réfléchi et joue un rôle dans cette narration. Quand vous graphez, posez-vous la question de ce que vous voulez exprimer ou représenter et choisissez des éléments qui vont contribuer à dégager une atmosphère précise et créer une cohérence visuelle.


Ne pas négliger les textures et le coloring

Les textures et le coloring ont tendance à être oubliés des graphistes amateurs, qui se contentent de prendre une image et d'ajouter un texte, un cadre ou une forme personnalisée, sans autres effets ou très peu. Pourtant c'est ce qui habille la création, lui donne une ambiance et du relief. Même quelque chose de discret comme un light leak ou un dégradé peut faire la différence entre un aspect brut et travaillé.


Ne pas abuser des formes personnalisées

Les formes personnalisées peuvent être mal considérées car souvent mal exploitées et utilisées comme cache-misère pour dissimuler un manque de compétences ou un travail bâclé : le fait de tronquer une bonne partie de la création réduit la surface à traiter et donne l'illusion qu'elle est plus élaborée. Appliquer une forme personnalisée n'exclut pas de travailler également l'image et son usage doit être justifié, pas juste meubler superficiellement.


Modérer les ombrages

L'ombre portée peut mettre en valeur des éléments et les faire ressortir efficacement, mais ce n'est pas elle qui doit attirer l'attention. Une ombre trop marquée, épaisse ou décalée peut être disgracieux. N'exagérez pas la taille ni la distance. Il peut être bon aussi de baisser son opacité, la mettre en incrustation, ou encore reprendre la couleur du fond avec une tonalité plus foncée.


Affiner ses créations

Des lignes fines et des détails délicats donneront à la création une impression d'élégance et de sophistication. À l'inverse, les formes simples et rondes et les lignes épaisses évoqueront des dessins pour enfants. Quand ce n'est pas justifié par un contexte intentionnellement enfantin, cartoon ou simpliste, utiliser des éléments trop grossiers est un choix maladroit, notamment pour les polices de texte et les formes personnalisées.


Éviter les clichés

Oui, il est possible de faire une bannière sur la Saint-Valentin sans mettre du rose et des coeurs. Non, des illustrations pour Noël ne doivent pas forcément être rouge et vert avec des flocons et du gui partout. Il y a tellement de façons plus subtiles et originales de représenter un thème sans tomber dans la mièvrerie et la facilité de l'art figuratif. Essayez plutôt d'évoquer l'ambiance et les émotions qui y sont associées, en les suggérant à travers des éléments plus subtils et symboliques.


Harmoniser l'ensemble

Veillez à un bon dosage et une disposition équilibrée des éléments pour ne pas avoir une création trop vide, fouillie ou surchargée. Sauf cas particuliers, évitez les teintes flashy agressives pour les yeux, les polices trop fantaisistes ou les formes personnalisées alambiquées qui peuvent être difficiles à concilier. Dans le doute, privilégiez la simplicité. Pour les combinaisons typographiques, le contraste reste une valeur sûre : serif et sans serif, calligraphique et basique, bold et medium, etc. N'appariez pas des polices trop similaires.


Ne pas hésiter à expérimenter

Prenez le temps de chercher des ressources qui vous inspirent et se prêtent bien à votre création. Jouez avec les réglages et les modes de fusion, essayez de changer l'ordre de vos calques ou de les superposer de différentes manières pour créer des effets inattendus. Si vous avez tendance à trop vous reposer sur vos acquis et snober des outils indispensables parce que vous ne comprenez pas leur fonctionnement, testez-les quand même au pif, vous finirez par trouver des rendus esthétiques et des façons intéressantes de les utiliser.

On nous dit

Version texte :

On nous dit cyniques, parce que nous avons l'intelligence et la lucidité de contester les normes établies, nous voyons les choses telles qu'elles sont sans avoir besoin de se mettre des oeillères et se faire des illusions pour le confort de nos petites émotions.

On nous dit égocentriques, parce que nous n'existons pas à travers le regard des autres et nous ne dépendons pas de leur validation, nous assumons qui nous sommes et ne nous laissons pas brider par des conventions sociales utopiques et des opinions insignifiantes.

On nous dit méchants, parce que nous nous ne sommes pas désespérés de nous faire aimer, nous avons le courage et l'honnêteté de dire la vérité en face, ce que vous prenez pour de la gentillesse étant bien souvent de l'hypocrisie ou de la lâcheté.

On nous dit provocants, parce que nous poussons les autres à réfléchir et se remettre en question, nous osons exprimer notre individualité et notre authenticité dans un monde d'uniformité et de faux semblants.

On nous dit insensibles, parce que nous savons qu'il est futile de s'investir émotionnellement dans des causes vaines, nous privilégions la logique et le bon sens à un jugement faussé par les émotions.

On nous dit orgueilleux, parce que nous sommes suffisamment talentueux et appréciés sans devoir jouer la fausse modestie pour attirer les louanges, nous sommes sûrs de nous parce que nous connaissons notre valeur et nous ne sommes pas bourrés d'insécurités.

On nous dit méprisants, parce que nous avons conscience de notre supériorité et que nous ne craignons pas de la montrer, notre suffisance est justifiée par nos compétences et nos réalisations, et l'incapacité des autres à faire leurs preuves en comparaison.

On nous dit sectaires, parce que nous sommes soudés et préférons rester entre nous qu'être mal accompagnés, nous suivons et nous sommes loyaux seulement envers ceux qui le méritent et ont gagné notre respect.

On nous dit trop ambitieux, parce que nous visons des objectifs à la hauteur de nos capacités, nous ne nous contentons pas de la médiocrité et nous élevons parce que nous en sommes dignes.

On nous dit perfectionnistes, parce nous sommes critiques face à notre propre travail, nous avons la satisfaction personnelle d'accomplir des choses de qualité, et nous sommes capables d'évoluer pour devenir les meilleurs.

L'Art de la Subtilité : L'Hypocrisie selon Serpentard


Dans les couloirs sombres et sinueux de Poudlard, une maison se distingue par son intelligence aiguisée et sa ruse inégalée : Serpentard. Et si l'on devait parler d'une pratique qui résonne particulièrement avec l'esprit serpentard, ce serait sans aucun doute l'art subtil de l'hypocrisie.

Définie comme la capacité à feindre des sentiments ou des vertus que l'on ne possède pas, l'hypocrisie revêt une toute autre signification dans l'univers des Serpents. Ici, elle est célébrée comme une arme supplémentaire dans l'arsenal de la manipulation et de la domination.

Pour un Serpentard, l'hypocrisie n'est pas simplement une pratique à condamner, mais un outil à maîtriser. C'est l'art de savoir quand sourire tout en planifiant dans l'ombre, la capacité à prononcer des compliments en surface tout en dissimulant des critiques acerbes dans les replis de l'esprit. C'est la maîtrise de l'illusion, où les masques de gentillesse cachent des visages déterminés à atteindre leurs objectifs, peu importe les moyens.

Dans la salle commune des vert et argent, les compliments ne sont pas seulement des mots doux, mais des pièges savamment tendus, des appâts pour attirer la proie dans les filets de la manipulation. C'est là que réside la véritable beauté de l'hypocrisie serpentarde : dans sa capacité à dissimuler la vérité derrière un voile de politesse et de courtoisie.

L'hypocrisie est la clé qui ouvre les portes du pouvoir et de l'influence. C'est la marque des grands stratèges, des leaders éclairés qui savent naviguer avec habileté dans les eaux troubles de la politique et de la manipulation. Alors que d'autres maisons pourraient condamner l'hypocrisie comme une faiblesse morale, Serpentard la glorifie comme une vertu nécessaire dans la quête de la grandeur et de la suprématie. Car dans un monde où seuls les plus rusés et les plus déterminés survivent, il est essentiel de savoir quand sourire, quand complimenter et quand frapper.

Ça, c'est la vision que tout le monde a de notre maison. Certainement, car nous sommes de fabuleux acteurs en RPG. Mais la réalité est tout autre.

La perception commune de Serpentard est largement façonnée par des stéréotypes et des malentendus. En vérité, la réalité de notre maison est bien différente de ce que l'on pourrait croire. Loin des clichés de manipulation et d'hypocrisie, les Serpentard sont avant tout des individus francs et honnêtes. Nous privilégions la vérité, même si elle est parfois difficile à entendre.

Chez Serpentard, nous ne faisons pas de compliments creux ou de critiques voilées. Nous croyons en l'importance de la sincérité et de la franchise. Dire ce que l'on pense véritablement est une marque de respect envers les autres. Cela permet à chacun de connaître ses forces et ses faiblesses et d'avoir l'opportunité de s'améliorer. Nos critiques ne sont jamais destinées à blesser, mais à aider à progresser.

Contrairement à l'idée reçue que nous serions égoïstes et divisés, Serpentard est une maison profondément soudée. Nous nous soutenons mutuellement. Les membres de notre maison savent qu'il peuvent compter sur les autres, que ce soit pour traverser une épreuve difficile ou célébrer un succès.

Chez Serpentard, les compliments sont sincères et les critiques sont constructives. Nous ne portons pas de masques pour manipuler, mais utilisons la vérité comme un outil de croissance et de solidarité. Contrairement aux stéréotypes, nous ne complotons pas contre nos propres camarades. Nous croyons en l'intégrité et en l'entraide, et nous savons que c'est cette unité qui nous rend forts.

En fin de compte, une chose est certaine : chez nous, l'hypocrisie n'a pas sa place. Nous valorisons l'honnêteté et la solidarité, et nous croyons que c'est cette approche qui nous permet d'évoluer et de prospérer ensemble. Voilà la véritable philosophie de Serpentard : être sincère, être uni, et toujours chercher à s'améliorer.

Pourdlard12 sans nos pinceaux


Les illustrations sur Poudlard12 sont-elles vraiment importantes ? Apportent-elles réellement quelque chose ? Ces questions méritent d'être posées. À première vue, les illustrations peuvent sembler être des ajouts esthétiques, des embellissements sans réelle valeur ajoutée. Cependant, si l'on s'attarde un instant sur leur impact et leur processus de création, on découvre une réalité bien différente. Les illustrations ne sont pas de simples décorations, elles jouent un rôle crucial dans l'enrichissement de l'expérience utilisateur et la mise en valeur du contenu. Pour comprendre pleinement leur importance, il est essentiel d'examiner en détail leur naissance, leur création, et les retours qu'elles génèrent.


La naissance d'une illustration

Il ne suffit pas de se dire, "tiens, je dois faire une bannière sur ce thème", ouvrir Photoshop et, boum, elle apparaît. C'est de la magie, d'accord, mais une magie qui demande de la créativité, de la réflexion et du temps. Le thème nous aide à savoir quelle direction emprunter certes. Ensuite, arrive le moment de la recherche d'outils (images/gifs) qui vont nous aider à débuter. Parfois, cela est rapide. On tombe sur la bonne image, celle qui nous inspire. D'autres fois, cela peut durer plusieurs minutes, voire des heures, sans que rien ne nous inspire, car nous avons une idée bien précise en tête.


La création

Une fois que nous avons l'inspiration, les outils et une idée bien précise, nous passons à cette étape qui est en fait découpée en plusieurs étapes. Il ne suffit pas d'assembler, mais bien de travailler notre illustration, en jouant avec les ombres, en créant des effets, en harmonisant au maximum l'ensemble, en jouant avec l'opacité, la saturation, les couleurs et tout un tas d'autres manipulations jusqu'à sublimer le rendu.


Le texte

Une fois notre illustration créée, il faut alors lui donner un titre et, là encore, le choix de la police ne se fait pas au hasard. Ce dernier doit mettre en valeur notre illustration et aussi être lisible. Le texte sur une illustration est crucial, car il doit attirer l'œil tout en étant en harmonie avec le visuel. Il doit renforcer le message de l'image, le compléter, le sublimer.


Bibidi Bobidi Bou

Notre illustration est enfin prête. Parfois après quelques minutes à peine, et d'autres fois après plusieurs minutes, voire une heure ou plus. Prête à être postée, prête à illustrer un article, un cours, un topic ou encore un livre. Une bonne illustration ne se contente pas d'accompagner le texte, elle le met en valeur, le rend plus attractif, plus engageant.


Les retours

En tant qu'artistes, nous apprécions la critique. Qu'elle soit positive ou négative, cela nous aide à évoluer, à comprendre ce que parfois nous ne voyons pas. La critique constructive est essentielle pour s'améliorer. Elle nous permet de voir nos créations sous un autre angle, d'identifier les points forts et les aspects à améliorer. Plusieurs fois, il est arrivé que je tombe sur un cours ou topic où le pseudo de la personne qui a réalisé la bannière n'est même pas cité. On y mentionne l'auteur du texte, le félicitant ou le remerciant pour son implication, mais l'artiste est oublié. Une illustration demande du temps, de l’investissement et de la créativité.


En conclusion

Nos pinceaux sont tout aussi importants sur Poudlard12 que les plumes des auteurs. Les illustrations sont indispensables, car elles apportent une dimension visuelle qui capte l'attention et enrichit l'expérience de lecture. Elles ne sont pas de simples ajouts esthétiques, mais des éléments essentiels qui participent à la compréhension et à l'appréciation du contenu. Ne sous-estimons pas le pouvoir des images et n'oublions pas les artistes qui les créent. Sans eux, Poudlard12 perdrait une part de sa magie et de son éclat.

Quand on parle du serpent


Dans la première version de cet article, le concept était de me mettre au même niveau que nos détracteurs et répliquer sur le même ton qu'eux, mais il a été censuré par Patsy qui trouvait ça "pas classe ni constructif" - oups. Je vais donc tâcher de faire passer le message de manière plus intelligente et moralisatrice.

Cet article s'adresse à tous ceux qui s'amusent à critiquer publiquement Serpentard ou la VIPère en oubliant qu'il y a l'art, la manière, le temps et le lieu pour le faire, en réaction à des choses souvent mal comprises. C'est normal qu'on ne prendra pas de la même façon une remarque d'un ami dans une joute verbale et un jugement gratuit formulé par un parfait inconnu qu'on croise dans la rue. Avant de se le permettre, il y a des choses à prendre en compte.


Le contexte

La VIPère est un journal ouvertement satirique et RPGique, avec un parti pris sectaire, adressé avant tout aux membres de Serpentard. Dans nos articles nous jouons un rôle, celui du vilain Serpentard méprisant et orgeuilleux agrougrou, nous traitons donc nos sujets de ce point de vue. Tout le monde - y compris nous-mêmes - en prend pour son grade. Si on juge les autres, évidemment qu'on ne retiendra que le négatif, puisque le but n'est pas de les complimenter ni de les valoriser, mais de prouver que notre maison est la meilleure. Mais quand ça vient d'un journal avec un ton qui se veut beaucoup plus neutre et bienveillant, au beau milieu d'autres portraits uniquement positifs, ce n'est pas justifié par sa ligne éditoriale, ça sort donc un peu de nulle part et il y a franchement de quoi se poser des questions. Quand il y a une pique quasiment à chaque édition, là où ce genre de propos étaient très rares auparavant, ça ressemble légèrement à une vendetta personnelle.

L'impact

Je comprends que ça peut être lassant à force de les entendre en boucle, mais les clichés sur les autres maisons restent "mignons" dans leur ensemble, et n'empêchent pas de s'y attacher. En revanche quand il s'agit de Serpentard, l'impact n'est pas le même puisqu'on nous met les pires défauts du monde sur le dos et que nos effectifs souffrent de cette mauvaise réputation. Le problème, c'est que certains commencent à y croire vraiment et se mettent à se méfier et juger des personnes sans les connaître juste parce qu'ils sont à Serpentard. Il y a une différence quand c'est nous-mêmes qui cultivons volontairement une fausse réputation RPGique, et quand des gens extérieurs nous collent premier degré une étiquette de "méchants". Ça ne va certainement pas nous aider à attirer plus de nouveaux, et ça revient à saboter les efforts de l'EdM et de nos membres.

L'intention

Croyez le, nous n'avons rien contre les membres des autres équipes et maisons. Cette rivalité est purement fictive et ceux qui nous connaissent un minimum savent qu'il n'y a pas de réelle malice derrière nos articles et qu'on ne s'en sert pas pour régler des comptes (la preuve étant que l'EdM et le CA valident notre contenu et nous tapent sur les doigts dès qu'ils ont un doute là-dessus). Ce qui n'est clairement pas le cas quand ça vient de gens qui ont à l'évidence mal interprété nos intentions et qui manifestent délibérément de l'animosité à notre égard. Par exemple, c'est assez ridicule d'accuser la VIPère de critiquer une animation quand il s'avère que le 3/4 de notre équipe a travaillé dessus ou y a participé et qu'il s'agissait donc d'une forme d'introspection consentie. Ça montre que certaines personnes sont à l'affût des moindres propos qu'ils peuvent sortir de leur contexte pour les utiliser contre nous.

La forme

La VIPère use d'une combinaison d'humour caustique et de critique, comme la satire, le sarcasme, l'humour noir. Tout comme nous jouons sur les stéréotypes de Serpentard et l'autodérision, les traits sont volontairement parodiés ou caricaturés, parfois sur un ton grandiloquent et overdramatique, comme dans la précédente édition sur le thème du Culte de Serpentard où on utilisait des termes hyperboliques comme "profanation" ou "sacrilège" pour décrire des choses anodines. C'est tellement évident que c'est exagéré qu'on a du mal à comprendre comment il est possible de le prendre sérieusement. Les Crocs ont très bien su répondre à nos blagues avec humour et autodérision, ce qui est la bonne attitude à adopter et les réactions qu'on cherche à susciter. Ça ne donne pas l'impression d'avoir été mal pris et qu'ils ont pour but de se venger. On sent tout de suite la différence quand c'est passif-agressif.

La réciprocité

On accepte parfaitement que les gens nous critiquent en retour quand c'est fait dans un échange mutuel bon enfant et qu'on fait preuve de la même tolérance envers la VIPère. En revanche c'est particulièrement frustrant de voir des gens se plaindre de nos articles alors qu'ils font la même chose, voir pire en ciblant personnellement nos chroniqueurs ou en s'acharnant gratuitement sur la maison, sans nous laisser de droit de réponse. Certains devraient sérieusement méditer sur les phrases "Ne faites pas aux autres ce que vous ne voulez pas qu'on vous fasse", "On récolte ce que l'on sème" et "C'est celui qui dit qui l'est". On peut comprendre que certains ont du mal à percevoir les subtilités et puissent se vexer, mais dans ce cas il suffisait de venir nous en parler directement en commentaire ou en privé, ça ne justifie pas des réactions aussi véhémentes ni un tel étalage public de dramatisation.


À partir du moment où on poste quelque chose en public, on s'expose à la critique, qu'elle soit fondée ou non. C'est quelque chose qu'on doit accepter, ou alors s'en protéger en apprenant à relativiser et en évitant de s'y exposer bêtement. Vous avez tellement plus à y gagner en le prenant comme un conseil pour vous améliorer qu'en vous braquant et en vous enfermant dans un cercle vicieux de victimisation et de vengeance. Si vous savez que ça risque de vous blesser à ce point, rien ne vous oblige à lire. En ce qui nous concerne, par chance vous n'aurez plus à vous en soucier.

Dream Team


Pour moi, l'écriture comme le graphisme est une grande histoire d'amour et de désamour. J'ai toujours eu tendance à me prendre la tête pour formuler de la meilleure façon, peaufiner les détails à l'infini, douter de la qualité de mon travail, le comparer aux autres et me demander s'il est assez bon pour être publié (bref, les joies du perfectionnisme). Je me suis aperçue que je suis bien plus à l'aise au sein de la VIPère et je sais que c'est parce que je suis entourée de personnes qui osent, assument, ne craignent pas d'être jugées, se soutiennent et se valorisent mutuellement. Mais aussi des personnes compétentes et talentueuses, avec un esprit critique et une volonté commune de s'améliorer.

Quand j'ai commencé à travailler pour les journaux, plusieurs personnes m'ont fait remarquer que mes illustrations paraissaient trop travaillées par rapport à celles des autres illustrateurs et que ça contrastait trop avec le reste des éditions. J'ai longtemps eu l'impression de devoir adapter mon niveau à celui de l'équipe, je bâclais de plus en plus mes créations pour cette raison et à cause et de la pression des deadlines qui primaient souvent sur la qualité. Mais depuis que je suis à la VIPère, j'ai l'impression de pouvoir exprimer mon plein potentiel. Altehir, Sixtine et Alis n'ont rien à m'envier en matière de créativité, sophistication et sens de l'esthétisme. On a chacune notre propre style mais leur maîtrise nous permet de trouver un équilibre où nos illustrations se complètent bien et aucune ne dénote trop. C'est tellement satisfaisant d'avoir des éditions aussi harmonieuses et esthétiques.

Grâce à Aidan, Amand, Athéa et Ivy, mais aussi Altehir et Sixtine (puisqu'on a une équipe polyvalente, ça mérite d'être souligné), on peut également se vanter d'avoir des articles magnifiquement écrits, développés et pertinents. À travers les mots et entre les mots, ils arrivent à créer une ambiance et cerner l'esprit de Serpentard. La satire n'est pas un exercice facile - non, il ne suffit pas de cracher sur tout et n'importe quoi - et nos rédacteurs la manient à la perfection. Leurs critiques sont toujours justes et constructives, et derrière les artifices caustiques il y a des choses qui méritent d'être dites, même si certains ne veulent pas les entendre. On peut les taxer de méchanceté ou de gratuité, il n'y a que la vérité qui blesse. Dans un monde où l'hypocrisie et la susceptibilité sont autant normalisées, il faut avoir un sacré cran pour oser dire ces choses en face, et une bonne dose d'intelligence pour le faire correctement.

L'ambiance au sein de notre équipe incite à lâcher prise et donne envie d'écrire et d'illustrer, on se sent tirés vers le haut et libérés des carcans de la communauté, et c'est une véritable source d'inspiration. On est sur la même longueur d'ondes, on se permet d'expérimenter des choses, on prend le temps de soigner notre travail, s'entraider, modifier voir recommencer quand on est pas satisfaits, et on peut être fiers du résultat. Merci d'être vous et de faire du journal un espace où on peut s'amuser et être épanouis créativement.

Memes qui peut
















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