La VIPère

L'Emeraude du Mois et donc le magnifique devoir de Naïa Rosenberg ! Il est juste parfait tout comme elle ! Aimons Naïa car elle est génialissimement géniale ! ( Elle sera contente en lisant ça )

                            
   


*La nuit était tombée lentement sur le château, laissant le temps à chacun de finir ce qu'il avait commencé plus tôt avant de retourner dans sa salle commune, parmi les siens ... tous sauf deux personnes. La première était une Rouge & Or, encore affamée par sa journée, qui avait décidé de faire un raid dans la Cuisine afin de dégoter des victuailles pour ses semblables. La seconde était une Verte & Argent, tapis dans le noir en attendant que sa proie soit à elle, ce qui ne devrait tarder.

Pendant que Tarja volait de la nourriture dans les réserves de P12, Naïa elle lui faisait servir une boisson aromatisée à sa sauce.*

N : " - Vas et amènes lui ce verre sans rien dire sur sa provenance. Tu m'as bien compris ? Sinon je te renvoie chez tes anciens maitres coup de pieds dans les fesses, je suis sûre qu'ils seront ravie de te revoir à nouveau èé"

*L'elfe déglutit, sentant encore les coups qu'il avait reçu par ses maitres pour son incapacité à réagir rapidement. L'elfe se dirigea donc lentement vers la voleuse et lui tendit le verre. Tarja, ne l'ayant pas entendu sursauta et lâcha le pain qu'elle avait dans les mains.*

T : " - Ahh! Tu m'as fais peur ... Hum .... je ... Que fais tu ici ?"

H : " - Hector est venu apporter un rafraichissement à Madame."

T : " - A moi ? C'est ... c'est gentil mais pourquoi ?"

H : " - Madame doit avoir soif depuis le temps qu'elle cherche de la nourriture. Madame devrait boire son verre et prendre ses affaires avant que quelqu'un la surprenne ici. Madame risque de gros ennuis, Hector a entendu des pas qui se rapprochaient."

T : " - Maudits Préfets èé Je paris que c'est encore cette racaille de Serpillère. Cette Naïa doit rôder dans le château à l'affut de la moindre effraction. Je ne vais pas lui donner ce plaisir tu as raison."

*Tarja but rapidement le contenu du verre et le rendit à Hector, avant de prendre toutes les vivres utiles pour le festin qui se préparait en cachette chez les Rouges & Ors.*

T " - Merci pour le verre et pour m'avoir prévenu. Bonsoir"

*Quand Tarja quitta la cuisine, elle entendit un elfe se frapper, il faisait un boucan d'enfer, mais elle n'avait pas le temps d'aller voir ce qu'il se passait, elle entendait déjà des pas se rapprocher. En effet, Naïa avait profité des dires de l'elfe pour entrer en scène. Elle ne voulait pas que son plan machiavélique se déroule dans la cuisine, aux yeux de tous, elle voulait un endroit plus tranquille pour cela. En arrivant à la hauteur de la cuisine, elle entendit Hector se punir, se qui lui donna encore plus l'envie de vomir. Non vraiment elle ne les comprendrait jamais.

Pendant que Tarja tentait de fuir la Préfète, Naïa elle l'amenait exactement là où elle la voulait. C'est donc en pensant échapper à la Préfète en Chef, que Tarja entra dans une salle de classe vide à cette heure. La jeune fille se cacha près du bureau du professeur et attendit que les pas s'éloignent. Pendant cette attente, elle se sentit quelque peu bizarre, sans vraiment savoir pourquoi. Elle sentit une chaleur se répandre dans sa colonne vertébrale. La douleur était telle qu'elle ne put que s'écrouler sur le sol, en âge et dans l'incapacité de crier. C'est à ce moment là qu'elle entendit la porte s'ouvrir et des pas se rapprocher, doucement, lentement, mais surement. Naïa découvrit une Tarja en sueur, au sol et surtout à sa merci. Ce spectacle lui donna envie de rire, de s'extasier de sa grandeur, de clamer haut et fort qu'elle était géniale, mais elle s'en abstint. La batteuse s'assit près du visage de la Katainen et la regarda d'un air triomphant.*

N : " - Tarja ... Tarja .... Tarja ... toujours à trainer là où il ne faut pas à ce que je vois. Que fais tu ici, allongée au sol alors que tu devrais être dans ta salle commune et même dans ton lit à cette heure ?"

T : " - Naïa ..."

N : " - Oui c'est mon nom. C'est bien demain je t'apprendrais le tien."

T : " - .... appelles l'infir...mière ...aïe..."

N : " - L'infirmière ?! Mais quelle drôle d'idée. On est pas bien là toutes les deux ? "

T : " - Je ne me sens pas bien .... Amènes moi à l'infirmerie."

N : " - Infirmière, infirmerie, tu n'as que ces mots à la bouche ma parole. Et puis arrêtons de parler de toi pendant un moment tu veux, c'est très égocentrique de ta part de tout tourner autour de toi. Non parlons de moi, ce sera plus intéressant."

T : " - T_T ..."

N : " - Veux tu savoir ce que j'ai fais aujourd'hui ? Je me suis glissée dans le labo de Coconut afin de faire un poison. Oui oui tu as bien entendu un poison, le même qui d'ailleurs se glisse sournoisement dans tes veines en ce moment même."

T : " -  C'est un meutre..."

N : " - Un meurtre tout de suite les grands mots. Non c'est une expérience plutôt, je serais le savant fou et tu seras mon gentil cobaye. Que c'est excitant ne trouves tu pas ?"

T : " - Non T_T Anti.."

N : " - Pchut Ta maman ne t'a jamais appris à ne pas couper la parole. Si tu n'es pas jolie, sois au moins polie èé

Bon qu'est-ce que je disais ... oui mon poison, fait maison, j'en suis très fière. Normalement il met des heures à tuer une personne ... 'fin normalement parce que pour tout te dire, c'est la première fois que je le fais, donc il se peut qu'il agisse plus ou moins vite. Enfin on verra bien hein, on est pas pressé ^_^"

*Tarja tenta de crier mais en vain. Elle avait l'impression d'être en plein cauchemar, priant de tout son coeur qu'elle se réveille vite, mais quand elle ouvrit les yeux, le regard bleuté de la Préfète était toujours rivé au sien, souriant à pleine dents.*

T : " - Pourquoi .... moi ?"

N : " - Parce que tu es une rouge & or, parce que je ne t'aime pas, parce qu'il me fallait quelqu'un pour le tester et que ton nom met venu tout de suite, parce que tu es une voleuse .... choisis j'en ai plein.

Mais rassures toi, il y a un antidote à ton mal."

T : " - C'est ... vrai ?"

N : " - Ben oui idiote, je t'ai dis que je ne t'aimais pas, pas que j'avais envie de passer le reste de mon existence à Azkhaban pour ta pauvre mort. Mais c'est tu ce qu'est un antidote ?"

T : " - Quelque .... chose .... qui va .... me .... sauver."

N : " - On peut dire ça, même si la définition n'est pas vraiment parfaite, toujours trop centré sur toi. En fait c'est une potion qui rétablit une personne, qui le guéri. Dans ton cas, elle neutralise les effets du poison."

Évalia Yaxley

J'avais dix ans. Je m'amusais avec un de mes cousins dans une innocente bataille de boule de neige. J'ai pris l'avantage et j'ai sauté sur mon cousin. Je me suis mise à hurler. Prosterne-toi devant ta sexy sorcière aux yeux de fers, baises mes pied et fait moi un bébé pour que je te domine encore plus! C'est à peu près ça que j'ai dit. Bien sûr, nos parents venaient nous chercher pour le goûter dans la serre chauffée. Je suis restée enfermé longtemps dans ma chambre, les sourires en coins de mes parents me rappelaient trop mes paroles stupides.

Mess' de Nono Alias Len': Pauvre Suzie ! Elle a vraiment besoin de votre aide pour cette rubrique alors aidez-la en lui envoyant vos moments les plus gênants !

Bonjour mes tourtereaux !
RECOORD BATTUUU ! Et oui, le record du nombre de lettres envoyés, a atteint des sommets... 4. Oui, bon, c'est déjà pas mal !

« Chère mademoiselle Firwer.

Je me tourne vers vous car je désespère de trouver une réponse à mes interrogations par moi-même.
Je vous explique mon embarras.
Je me trouve être dans un couple solide, basé sur la confiance mutuelle, nous sommes tous les deux persuadés de vivre nos vieux jours ensembles.
Seulement, mon cher et tendre est maintenant parti en voyage de quatre mois dans un pays nordique.
Je vous entends penser d'ici. Non, je n'ai pas peur qu'il se trouve en meilleure compagnie avec les autochtones blondes à forte... personnalité. Ce n'est pas du tout son genre.
Par contre j'ai peur de mes réactions. Celui que je pensais être mon meilleur ami se met maintenant à me faire des avances, et j'avoue avoir rêvé, une nuit, d'y succomber. 
Je sais que je n'ai aucun avenir avec lui et que mon prince charmant va me revenir. Mais s'il-vous-plait. Que puis-je faire pour éviter de succomber à la tentation? 

Une fidèle lectrice de vos courriers »

Ouais, une fidèle lectrice !
Je comprends ton embarra, surtout qu'il est difficile de repousser les avances de ton amis, sans mettre votre amitié en danger. Alors comment lui faire comprendre, sans lui dire directement ? J'avais un plan qui nécessitait, un caribou boiteux, un mini trampoline, un sorbet au citron, un string rouge, et un fouet (mais pas pour ce que tu pense...). Pourquoi faire simple, lorsqu'on peut faire compliquer, n'est-ce pas ? Mais après maintes réflexions, je me suis dit que le caribou allait bouffer le sorbet, donc, ça colle pas. Si il commence à te draguer, c'est qu'il pense que la voie est libre, et que la relation entre ton petit ami et toi n'est plus vraiment stable, à cause de son départ. Il faut lui montrer que c'est faux, et que malgré la distance, tu es toujours en couple. Parle de lui, à ton pote, montre que tu tiens toujours à lui, avec diverses petites choses. Genre, alors que tu lui parle, tu reçois un texto... « Tiens, c'est machin ! » Machin, étant bien sûr ton copain.
Bref, je me sens un peu comme une conseillère amoureuse de magasine pour ado...
Bon courage !
Attend, attend. Je viens de relire ta lettre... Les tentations ? Faut tout recommencer ! Bah, écoute, pourquoi ne pas prendre encore plus de contact avec ton copain ? Et puis, l'amour ça se commande pas, tu tombe comme ça, c'est pas un choix comme la quatre fromages et la marguarita. Aucun avenir avec lui ? Qu'est-ce que tu entend par là ? Tout le monde à un avenir... Mais bon, compare un peu c'est deux amours... Lequel tu choisis ?
Brefouille, pour de vrai...
Bon courage ! »

« Corentine Firwer, ma sauveuse !

Alors voilà, j'ai un gros problème de coeur. J'espère que vous pourrez m'apporter une solution au plus vite, car vous n'imaginez pas à quel point j'en suis toute retournée ! 

Depuis deux ans je vis dans un petit village tranquille, avec mes soixante quatorze chats et quelques salamandres. D'ailleurs l'un d'eux à attraper une gastro entérite, j'vous raconte pas l'horreur >.< Enfin bref ! Avant hier soit je fus dans mon jardin, buvant un thé glacé en observant les éclairs du ciel. Lorsque soudain je sentis une main venir se déposer sur mon épaule ! Une terrible peur me pris, et lorsque je leva la tête je reconnus mon voisin ! Ce dernier me fit un sourire des plus grand, et me complimenta sur ma robe. Je pouvais prendre ça sur un compliment, sauf que... C'était pas une robe ! Mais un patchwork fais par mon arrière arrière arrière arrière arrière [...] arrière grande tante de mon cousin du sixième degré.. Vous imaginez bien la tête que je lui tirais.. Le lendemain je trouve une enveloppe dans laquelle deux billets pour l'opéra sont glissés. Une invitation ! Un rancard !

Que dois-je faire ? Cet homme semble amoureux de moi mais moi j'aime le pelage de mes soixante treize chats ( y'en as un qui vient de finir dans ma soupe je crois, j'ai cracher une boule de poil ! ) uniquement.. J'ai peur de lui briser le coeur, comment puis-je lui dire que malgré son compliment et son invitation je ne puis lui offrir la vie de ses rêves ? 

Miss Chatounette »

Enfin quelqu'un qui me considère pour ce que je suis... Une sauveuse !
Tu sais ce que je ferais à ta place, Chatounette ? Non ? Bah, en fait, y'a deux solutions. La première, c'est que connaissant une personne seule, célibataire, en quête d'amour, et que tu apprécie (Ou pas, si tu considère que ton voisin est un boulet.), et que tu lui glisse cette petite invitation dans sa boite aux lettres. Ça, c'est la solution : Tout est bien qui finit bien, tout le monde est content. Sinon, la solution que je préfère, et un peu plus égoïste (mais plus marrant pour moi, et sûrement pour toi aussi.), où en fait, il n'y a que toi qui finis heureuse. Alors, franchement,, après, pour la seconde solution, je suis presque sûre que ça va marcher : il crois te connaître ? Et bien, tu vas lui montrer qu'il se trompe. Vas à son rendez vous (juste pour le cocktail, au pire), et soit le plus horrible possible. Par exemple : « Tiens, mon grand père avait le même parfum que toi, et c'est un des trucs qui m'a dégouté le plus de lui. » ou « Pas génial ta bagnole, t'aurais put la nettoyer ! » . Parle le lui de la gastro entérite de ton chat, baille tout au long des morçeau, regarde ta montre, et fait comprendre que ça te saoule. A la fin, si tu ne veux pas lui briser le coeur, deviens un peu plus gentille, mais après ça, je pense qu'il sera un peu dégouté !
C.F..

« Chère demoiselle Corentine Firwer

Après des mois et des mois d'hésitations, je trouva enfin le courage de prendre cette plume d'oie pour vous écrire. Après trois consultations chez des voyantes, Mme Mil Anne Mme Rose Nberg et Mr Laflamme, je ne trouve plus de solution à mon problème.

( Sachez que ces trois personnages m'ont tous les trois conseillers d'aller faire trois tours au fond de mon jardin, en maillot de bain par tempête de neige mais ça ne marche pas ! )

Depuis trois longues années j'administre quotidiennement un philtre d'amour nommée Amortentia à mon cher compagnon. Pour soucis de conservation de vie privée je vais l'appeler Jacque. Seulement en ce jour je suis prise de remords, et me demande si je ne devrais pas arrêter de lui donner cette dose de potion. Pourtant il est si bon avec moi, je suis devenue amoureuse de lui malgré ses boutons d'acnés ( il à quarante ans, c'est le stress de l'âge je pense ) et sa peau grasse. Sa chevelure sale et décoiffée me plait tant. 
Au départ ce n'était qu'un pari avec des copines à l'école, mais maintenant... C'est l'amour de ma vie ! 

Est-ce raisonnable de le droguer jusque la fin de notre vie ? Dois-je le laisser choisir ? Vous savez, j'aime tellement lorsqu'il se perce un bouton.. Voir ce pus couler avec lenteur sur sa joue.. Je vais vous faire une confidence, je dissimule l'un de ses caleçons non lavé sous mon oreiller depuis notre premier nuit ensemble ! J'vous promets qu'après trois ans de vie commune, son odeur masculine à bien eu le temps de parfumer mes tissus de soie *-*

Bien à vous,

Lady Love »

J'ai toujours que les voyants, c'était de la pacotille !
Si tu l'aime, pourquoi t'en séparer ? Par contre, c'est le problème du filtre d'amour qu'il faut résoudre. Le truc, c'est que, pense que Jacques (ouille la fripouille), s'il n'étais pas sous le charme de ton amortentia (non, non ! Pas le tiens, haha !), aurait quelqu'un d'autre dans ta vie ? Tu semblait dire que son physique n'était pas très avantageux : tu crois qu'une autre fille voudrait devenir sa juliette ? Bon, alors si tu prends le risque, je crois que prenant conscience qu'il n'aura pas beaucoup d'autre chance de trouver une copine, il y a 90 % que vous vous mettiez ensemble, sans filtre d'amour.
Bisous bien baveux,
Corentine !

[/color]« Euh.. Bonjour Madame Corentine. Je peux vous appeler Corentine ? J'ai.. Comment dirais-je ? Un tout petit souci au fond de..
En même temps mon coeur et un jardin :x

Je place le décor. Poudlard, dans le parc. Minuit, et une minute.

J'embrasse ma petite amie, une jolie sorcière de première année vous savez.. Et là je l'entraîne dans la cabane hurlante. On voulait juste la visiter hein, ne vous imaginez rien. J'ai le droit de rien avant vingt sept ans et cent mois, règle de mon pôpa ! Du coup on va dans le jardin, et là je m'écroule de sommeil. La nuit d'avant j'ai passé mon temps à danser avec les garçons dans le dortoir, oui pas très malin pour mon rendez vous je sais. Quand je me suis réveillé je l'ai vu discuter avec un autre garçon. Pris de jalousie je pris une pelle et la leva dans sa direction. Je mis toute ma force et... Eternua ! Ma pelle alla frapper la tête du garçon et de ma copine. Pour ne pas aller à Azkaban ( j'suis trop jeune pour avoir le forfait comportant l'ancienne cellule de Sirius snif : ( ) je les enterre rapidement.

Me voilà dans la cabane à vous écrire, je peux faire quoi maintenant ? J'ai perdu la flamme de ma vie... Et ce à cause de moi..

Je vous remercie d'avance madame Corentine Firwer !

Le petit sorcier appelé Tom »

Je me suis longtemps posé la question, pour savoir si j'allais te dénoncer, mais je trouvais ça tellement fun, que finalement non. Enfin, fun pas dans le sens c'est fun qu'il et elle soit morte, mais tu comprend qu'avec une pelle, enfin, voilà, quoi.. Je m'enfonce, ok.

Alors, mon p'tit TomTom.
Il va falloir te faire à l'idée que c'est bon, t'a tué ta copine, c'est finis. Tu vas partir la ressusciter (quoi que, tu pourrais, me diras-tu, mais bon...). Donc, maintenant que tu l'a buté, il va falloir effacer son souvenir. Elle sera plus là, dit toi qu'elle fricotait avec un autre garçon, tu as une bonne raison (Ou pas.), à moins qu'en fait le jeune homme était son frère, mais bon. Donc, une fois que tu aura arrêté de pleurer, il faudra s'occuper des choses vraiment importante... Ne pas finir chez les détraqueurs. Enterre la pelle, loin, loin, loin, et j'espère que les deux ados sont en train de dormir bien profondément dans la terre, parce que si leur nez dépasse, ça fait pas très professionnel. Ensuite, prit pour que personne ne t'es vu sortir avec la demoiselle, sinon tu sera le premier suspecté.
Bisous, bon rétablissement,
Corentine (:

Pour éviter qu'on me prenne pour une fille sans cœur, je tiens à préciser, que je rigole bien sûr, et pas que dans cette lettre.

Bon, et bah c'est tout pour ce mois-ci. Rendez vous, heu... Bah, quand Lenha l'aura décidé, et n'hésitez pas à nous envoyer vos pigeons !

Les couleurs roses vous gênent t-elles ?

Stop, arrêtez vous sur cette page, les yeux hypnotisés, c'est l'instant des...

PUUUUUUUBS !

Nan, Nan ! Rangez vous chopes ! Vous n'allez pas boire dans un bar anglais. Quoi ? Les blagues pourries c'est dans ma nature...

Oui, oui, mais cheeer $, cheeeer $, amis !
Et voilà, la rentrée est passée, et vous n'avez toujours pas l'indiiiiispensable petite sélection, Voici les deux meilleurs produit de la saison Automne 2011, que la VIPère à choisis, pour vous. Allez, c'est votre dernière chance pour remplir vos casiers...





Alors, n'hésitez plus, et arrêtez de baver devant cette page...

Image des pages de journaux by Chloé Yang
Article de Corentine Firwer.